Les premières années

  1. Samson et Bacquet dite Lamontagne
  2. Son enfance
  3. Le mariage, les premières années
  4. Le terrain du 227 rue Saint-Joseph
  5. La famille
  6. L’oncle Charles
  7. Les terrains de la rue Sainte-Catherine

Samson et Bacquet dite Lamontagne

Octave et Aurélie sont tous les deux nés en 1846 ; elle, le 25 avril et lui, le 28 mai.

Aurélie a été baptisée le 26 à Saint-Michel de Bellechasse. Elle est la fille de Jacques Baquet, dit Lamontagne, cultivateur et d’Agathe Brochu. Elle est sa cousine au 4e degré, assez éloignée… Elle habitait à Lauzon avec ses parents lors de son mariage.

Le six avril mil-huit-cent-quarante-six par Nous Curé de St-Michel soussigné, a été baptisée Marie-Aurélie, nè hier du légitime mariage de Jacques Baquet dit Lamontagne cultivateur et d’Agathe Brochu de cette paroisse. Parrain Jean Baquet soussigné, marraine Sara Brochu laquelle avec le père présent a déclaré ne savoir signer.

Jean-Baptiste Octave (son vrai prénom) a été baptisé à Lauzon la journée de sa naissance. Son père est Jean-Baptiste, aubergiste, son parrain est Jean-Baptiste (probablement son grand-père) et sa marraine est Angèle Samson, une cousine éloignée.

Le vingt huit mai mil huit cent quarante six, nous prêtre soussigné avons baptisé Jean-Baptiste Octave, né le même jour du légitime mariage de Jean-Baptiste Samson, aubergiste, et de Henriette Lagueux, de cette paroisse. Le parrain a été Jean-Baptiste Samson, qui n’a su signer.La marraine Angèle Samson qui a signé avec le père.

Son enfance

Octave a vécu toute son enfance à Lauzon, avec ses parents, dans la maison familiale.

À sa naissance, son père se déclare aubergiste ; deux ans plus tard, marchand ; en 1867, lorsque Octave est âgé de 21 ans, Jean-Baptiste est marchand ; en 1871, cultivateur.

En 1861, l’oncle Charles a 22 ans et est marchand. Octave, lui, a 15 ans et il ne va plus à l’école.

Il était bien entouré ! Deux frères, deux sœurs, quatre oncles, une tante, au moins 18 cousins et cousines. Tout le monde semble vivre à Lauzon, Lévis et Bienville.

Une de ses cousines, Stéphanie Samson, mariée avec Alfred Ladriere, n’a pas eu la vie facile ! Ils ont eu 11 enfants. Neuf sont décédés dans les premiers jours ou mois après leur naissance, un est décédé à 6 ans et un seul, Roméo, s’est rendu à l’âge adulte. Il s’est marié avec Alice Costin, mais je n’ai pas trouvé s’ils avaient eu des enfants!

Il a sûrement travaillé pour son père, son oncle Charles… ou pour son autre oncle, Théodore Samson, marchand ou son autre oncle Théodore Bégin, lui aussi marchand ! On a ça dans le sang, être marchand !

Le mariage, les premières années

Ils se sont mariés le 10 avril 1877, à l’aube de leur 31e année, un âge assez avancé, si on se fie aux habitudes de l’époque. Le prêtre qui les a mariés n’était pas le Curé Gauthier, de la paroisse, mais un nommé Lagueux, curé de Saint-Jean Port Joly. Dans les albums photos de Tante Michèle, on retrouve un curé Lagueux, cousin de M. Samson ! Aurélie et Octave savaient écrire et on retrouve leur signature dans le registre paroissial.

Le terrain du 227 rue Saint-Joseph

Quatre mois après leur mariage, Charles Samson vendait à Octave un terrain :

Un lot de terre ou emplacement situé au dit village de Lauzon, contenant 50 pieds de front, sur 70 pieds de profondeur, le tout mesure anglaise, et plus ou moins, borné par devant au sud à la rue Saint-Joseph, par derrière au nord et d’un côté vers le nord-est au dit vendeur, et d’autre côté vers le sud-ouest à Pierre Godbout[1], ou ses représentants, circonstances et dépendances…

La présente vente est faite à la charge par ledit acquéreur qui s’y oblige pour lui, ses héritiers ou ayants cause :… de bâtir dans l’espace d’une année, et de rebâtir dans l’espace d’une autre année en cas d’incendie ou de destruction, une maison habitable et logeable, avec une bonne cheminée en pierres ou en briques, et entretenir icelle maison en bon ordre, tellement que sur icelle la rente ci-après stipulée y puisse être prise et perçue, d’y tenir feu et lieu, ou de remettre et délaisser ledit terrain au dit vendeur ;…

Enfin, cette vente est faite pour le prix et somme de 30 piastres, courant, de rente annuelle et perpétuelle, que ledit acquéreur constitut par ces présentes en faveur du dit vendeur… au premier mai, à payer la dite rente de 30 piastres, courant jusqu’à l’extinction ou rachat de ladite rente que ledit acquéreur, ses héritiers et ayant cause pourront effectuer en tout temps en payant audit vendeur, ses héritiers ou ayant cause une somme de 500 piastres, courant, en un seul et même paiement avec tous les arrérages alors dus, frais de quittance et autres dépenses et loyaux coûts…[2]

C’est sur ce terrain que situera notre maison (227 rue Saint-Joseph).

Ici un agrandissement d’un plan de 1894, disponible en pleine page ici. Par rapport au plan de 1864, sur le lot 264, seule la maison du bas a changé, maintenant en brique et bois et localisée à la limite du terrain, probablement celle qu’Octave a construite.

La famille

Un premier enfant, une fille prénommée Régina, voit le jour le 21 novembre 1878 et est baptisé le lendemain dans la paroisse de Saint-Joseph-de-la-Pointe-Lévy. Le parrain est Jean-Baptiste Samson et la marraine Henriette Lagueux, les grands-parents.

Régina se mariera avec Joseph Lepage le 19 janvier 1904, à Lauzon et ils auront sept enfants, cinq gars et deux filles. Les cousins Lepage…

Aurèle, notre grand-père, nait le 1er septembre 1885, sept ans après Régina! On le suivra au prochain chapitre.

Ils vivront tous les quatre dans la nouvelle maison de la rue Saint-Joseph, maison qui est aussi un magasin général.

L’oncle Charles

Comme on l’a vu auparavant, c’est Charles qui, en 1864, a racheté la terre des Samson de François Côté, au cout de 3 000 piastres[3]. Où avait-il trouvé l’argent pour ce faire, ce n’est pas clair.

Auparavant, en 1861[4], son père lui avait fait don de deux lopins de terre dans la première concession et d’un autre lot au second rang. En 1863, il lui avait vendu une autre terre au second rang, 200 louis, pour rembourser une dette à Th. Fraser.

Au recensement de 1861, il est âgé de 22 ans, vit avec ses parents, est marchand et possède pour 1200 $ de marchandise sèche.

Il demeurera célibataire toute sa vie, mais semble avoir aidé bien du monde. Au recensement de 1871, il vit avec sa mère, veuve. En 1881, il héberge ses nièces Léda, 22 ans, Delvina, 20 ans et Elmire, 18 ans, les filles de son frère Louis Samson et Marie Barras Lecours qu’on ne retrouve pas au recensement ; Marie Barras est probablement décédée et Louis toujors vivant, mais on ne sait où. En 1891, Charles, son frère Théodore, son épouse Éléonore Guay et une nièce de 22 ans, Marie Guay, vivent sous le même toit. Et en 1901, les mêmes quatre plus Delvina[5], 39 ans ; Théodore est le chef de famille, Marie Guay, Delvina et Charles sont « dom », domestiques ?

En 1903, il fait son testament[6] et plusieurs clauses font sourire ou nous permettent de mieux le connaître :

  • Il devra être enterré dans le cimetière dans une tombe en plomb.
  • Seuls, Théodore Samson, son frère, Delvina Samson épouse de JP Lemelin, Léda Samson épouse de Herménégilde Bourassa et Elmire Samson épouse de Honoré Bourassa, pourront se faire un enterrer dans son lot du cimetière et nul autre.
  • Ses hardes et linges de corps et 50 piastres seront distribués aux pauvres dans l’hiver qui suivra la date de mon décès.
  • Deux ans après son décès, quatre ou cinq cents piastres, à la discrétion de ses exécuteurs testamentaires, seront payés à la fabrique de Saint-Joseph de Lévis, afin qu’elle se charge d’entretenir à perpétuité son lot de famille au cimetière de la paroisse de Saint-Joseph de Lévis.
  • Son frère Théodore, s’il lui survit, sera l’usufruitier de tous ses biens meubles et immeubles…
  • Si Delvina devenait veuve ou se séparait de son mari, elle aurait la jouissance de la moitié sud-ouest de la maison qu’il habite présentement… après la mort du Théodore, elle aura la jouissance de toute ladite maison tant qu’elle vivra. Elle aurait aussi droit à une rente annuelle de 150 piastres.
  • Au décès de Théodore ou s’il est décédé, ses biens seront remis à Edouard et Octave, ses neveux qu’il nomme exécuteurs testamentaires conjoints. Ils devront administrer les biens et assurer une rente aux trois nièces (150 piastres à Delvina et 100 aux deux autres) si elles se séparaient ou devenaient veuves. Si Delvina retourne vers son mari, elle perd sa rente.
  • Il donne et lègue à Octave et Edouard (fils de son frère Édouard, de Bienville) à chacun d’eux la moitié du terrain qui se trouve au nord de la grande rue Saint-Joseph dans ledit village de Lauzon, lequel terrain s’étend jusque sur la côte du fleuve Saint-Laurent, le dit Octave Samson aura la partie du sud-ouest et le dit Édouard Samson n’aura la jouissance de cette maison et du jardin qui en dépend qu’après le décès de Delvina Samson épouse de monsieur Lemelin et ses deux légataires n’auront la jouissance et la propriété du terrain et dépendance qu’il leur lègue qu’après le décès du dit Théodore Samson son frère. Ledit Édouard Samson et ses successeurs auront le droit de laisser la grande grange là où elle se trouve, une partie sur le terrain présentement légué à Octave Samson et de vaquer à l’entour. Lorsque cette grange sera démolie, la partie du terrain léguée à Octave Samson sur lequel elle se trouve reviendra à ce dernier.
  • Chacun des neveux devra conserver ledit terrain, le remettre à son décès à un de ses enfants mâles, ce dernier devra pareillement conserver ce terrain et à son décès les rendre à l’un de ses enfants mâles lequel recueillera lesdits biens en pleine propriété. (Donc Octave devait le remettre à Aurèle qui devait le remettre à notre père Robert !)
  • Et finalement, il avait plusieurs rentes pour des terrains détenus ailleurs, rentes et terrains qui seront légués à différentes institutions : hospice Saint-Joseph de la Délivrance, Hôtel-Dieu de Lévis et Hôpital Guay. Les rentes de six terrains plus un autre terrain près de l’église seront légués à l’archevêque du diocèse de Québec, qui s’il le veut, pourra vendre ces terrains. Neuf autres rentes constituées par des terrains situés au sud de la rue Saint-Joseph sont léguées aux dames religieuses de Jésus-Marie ; en retour, elles devront faire chanter des messes pendant 25 ans et accueillir, pendant cette même période, comme quart pensionnaires, cinq élèves de la paroisse, mes parents seront préférés.

Comme on peut le voir sur le plan plus bas, Charles était propriétaire d’un grand nombre de terrains en ville, terrains qu’il louait et qui lui permettaient d’en retirer des rentes. Les locataires pouvaient s’y construire des maisons, mais il restait propriétaire du terrain. On sait qu’il possédait aussi des terres dans le 2e rang, terres qu’il avait probablement vendues avant son décès.

Le testament nous révèle aussi les personnes importantes dans sa vie : son frère Théodore, ses trois nièces (filles de Louis), en particulier Delvina et ses deux neveux Octave et Édouard.

Il vendra différents terrains avant son décès. Exemple, le terrain au nord de notre maison sera vendu en 1905 à Jos Charest, un terrain borné en front à la rue Sainte-Catherine, au sud à Octave Samson, à l’ouest à Rémi Labrecque, au nord à Charles Samson, sur lequel l’acquéreur a bâti une maison à deux étages[7], revendu en 1906 à Héliodore Barras, avec maison et hangar, en 1914 à M. Larrivée et finalement à Jos Laperrière en 1920, les Laperrière qui étaient là quand nous étions petits !

Quand a-t-il vendu tous les terrains qui allaient jusqu’au premier rang ? À qui ? Pour quelle somme ? A-t-il vendu à la paroisse pour le nouveau cimetière? À l’armée pour les terrains militaires? Dans un article Wiki sur les forts de Lauzon, on indique que les propriétaires des terrains utilisés pour la construction du fort ont dû être expropriés… à des prix inférieurs à la valeur réelle; le fort #1 a été construit entre 1865 et 1871. Encore plein de choses à découvrir.

Charles est inhumé le 23 juillet 1907. Il y a eu enquête du coroner, mais que s’était-il passé?

Six personnes ont été interrogées par le coroner George William Jolicoeur.

Le jeudi matin 18 juillet, vers six heures trente du matin, Jean Baptiste Dubé, de la Lévis County Railway, descendait le char 25. Rendu à 300 pieds de l’église, il a aperçu « le défunt », qui venait de quitter l’église (car un témoin l’avait vu partir du perron de l’église), s’approcher de la voie du tramway pour traverser vers le sud. Il a ralenti et quand il a vu que celui-ci s’arrêtait à 3 ou 4 pieds de la voie, il a reparti. Rendu à dix pieds du défunt, il a vu celui-ci repartir, n’a pas pu arrêter son char et l’a frappé à environ 6 milles à l’heure. Il ne savait pas que le défunt était sourd et voyait difficilement!

Le défunt est tombé dans le panier, s’est frappé la tête sur le char et est retombé sur le trottoir.

On a appelé le docteur Sirois qui est venu sur place. Charles était sans connaissance, avait une légère ecchymose à la jambe gauche, pas de fracture, que des égratignures. On l’a transporté à sa maison et il est resté sans connaissance jusqu’à sa mort le samedi en après-midi, le 20 juillet.

Son frère Théodore a confirmé au coroner que le défunt était bien son frère, qu’il était célibataire et qu’il demeurait « avec moi » depuis environ 25 ans.

Intéressant ces enquêtes du coroner. Charles vivait chez Théodore depuis 1882, alors âgé de 44 ans. Il était sourd et voyait difficilement, du moins à sa mort. Et il était très religieux, étant probablement allé à la messe de 06h00 du matin!

Extrait du journal Le Soleil, 22 juillet 1907 :

Il succombe

L’infortuné vieillard Chs Samson, rentier, qui a été si malheureusement frappé par une voiture électrique, à St-Joseph de Lévis, la semaine dernière, au moment où il traversait la rue, a succombé samedi au choc terrible qu’il avait reçu. Depuis l’instant de l’accident, le regretté vieillard est resté dans un état comateux, de l’instant de l’accident jusqu’à sa mort. Il était âgé de 69 ans. C’était un brave citoyen, jouissant de l’estime et de la considération générales. Le coroner Jolicoeur est allé tenir une enquête, ce matin. Les obsèques du défunt auront lieu demain dans sa paroisse, à Saint-Joseph de Lévis.

À la suite de son décès, on dresse la liste des terrains lui appartenant et qui seront légués à Théodore[8], en rouge sur les deux plans à droite. Il semble manquer ceux légués aux Sœurs.

Les terrains de la rue Sainte-Catherine

Lors de la lecture du testament, Octave et Édouard apprennent qu’ils hériteront des terrains situés de part et d’autre de la future rue Sainte-Catherine et de la rue Samson (actuelle rue Charland), mais seulement au décès de Théodore, et en seront les gestionnaires pour la succession.

Est-ce qu’Octave est pressé , est-ce Théodore ? Le 4 mai 1908, ce dernier officialise[9] la vente de 32 emplacements ou terrains non bâtis à Octave. Ce sont les terrains situés à l’est de la rue Sainte-Catherine (423 à 438) et ceux à l’ouest (445 à 460), et ce pour la somme de 2 666,67 $ pour laquelle Octave s’engage à payer une rente perpétuelle annuelle de 160 $, soit 5 $ par emplacement, payable à la succession de Charles. Ils sont marqués en vert sur le plan plus bas. Et cette même journée, il signe une Contre-Lettre qui réduit la rente à 64 $, sans pour autant réduire le prix de vente en capital des dits emplacements.[10]

Il devra aussi ouvrir la rue Sainte-Catherine, quand bon lui semblera, mais elle devra avoir une largeur de 36 pieds anglais, comme prévu au cadastre.

Quatre ans plus tard, Théodore réalisera que les quatre terrains au nord ne lui appartenaient pas et qu’il n’aurait pas dû les avoir vendus à Octave ; on annule la vente ! Ce sont les terrains au bout de la rue Sainte-Catherine.

Un peu plus d’un mois après en être devenu propriétaire, Octave commence à vendre des terrains.

Le 12 juin 1908, il vend deux lots à PA Boutin, 200 $ par lot[11], les lots 445 et 446. Au sud, on retrouve Héliodore Barras et au nord un dénommé Turcotte.

Les nouveaux propriétaires ont des lots de 60 pieds de façade par 54 pieds de profond. Ils doivent construire leur maison à 6 pieds de la rue Sainte-Catherine, et les garages, granges ou remises en fond de terrain. Octave s’engage à égaliser la rue et à la « macadamiser ».

Octave règle assez rapidement avec ceux qui sont établis et paient des rentes ; il préfère vendre. Turcotte, Patry, Turgeon…

Le 22 décembre 1910, il vend le lot 434 à Thomas Merritt, 400 $. Intéressant, le contrat est cette fois rédigé en anglais ![12]

Pour la partie revenant à Edouard, ce n’est pas clair. Théodore étant encore vivant (il décède en 1915), il ne semble pas avoir vendu le tout à Edouard, mais plutôt vendu lui-même quelques terrains ici et là.


[1] Registre foncier Lévis, 6645 : 1858 Joseph Godbout vend à Pierre Godbout un terrain acquis de Pierre Bégin et borné au nord-est à JB Samson, au sud au chemin public, au nord à Antoine Godbout, 46 pieds de front sur 60 pieds de profond. C’est le terrain à l’ouest du 227 rue Saint-Joseph.

[2] Registre foncier Lévis, acte 20329, enregistré le 30 août 1877

[3] Terre qui avait été vendue aux enchères par le shérif 638 pounds !

[4] Registre foncier Lévis, acte 8204, enregistré le 2 janvier 1861

[5] Probablement en instance de séparation, car au recensement de 1901, un Philippe Lemelin, 40 ans, vit dans une autre maison, avec une famille, mais sans liens de parenté.

[6] Registre foncier Lévis, acte 45273

[7] Registre foncier Lévis, acte 43101

[8] Registre foncier Lévis, acte 45274

[9] Registre foncier Lévis, acte 46149

[10] Ce document ne semble pas avoir été enregistré au bureau d’enregistrement ; copie dans les documents gardés par la famille Samson

[11] Registre foncier Lévis, acte 46268

[12] Registre foncier Lévis, acte 49004

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