Jacques et Marie-Anne Métru

Jacques, ses tout premiers jours ici

Il arrive le 2 octobre 1665.

Le 15 octobre, vers 9 et un quart du soir, la terre trembla l’espace d’un miserere[1] Le 10 novembre, la terre parait blanche de neige.[2]

Et d’autres surprises l’attendent l’année suivante. Après le froid de l’hiver, la sécheresse de l’été. Mais, il a probablement beaucoup appris avec Gervais Buisson.

Le 14 juillet 1666, en suite des 40 heures pour obtenir de la pluie, après un mois et plus d’une très grande sécheresse, le dernier jour, la pluie ayant commencé dure 3 jours entiers et remédie à tout.[3]

Journal des Jésuites, 14 juillet 1666

À l’époque, probablement comme aujourd’hui, être agriculteur n’était certainement pas de tout repos !

Bienvenue en Nouvelle-France!


[1] (Laverdière et Casgrain, 1871, p. 336)

[2] (Laverdière et Casgrain, 1871, p. 338)

[3] (Laverdière et Casgrain, 1871, p. 348)

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